• FAQ

    Vous pouvez utiliser le formulaire. Par demande d'autorisation pour une station (comprenant une station fixe, mobile et portative), les droits de dossier s'élèvent à 59,92 € euros sauf pour une station sans opérateur, pour laquelle ils s'élèvent à 119,85€. Une redevance annuelle de 59,92 € est également due pour chaque type de station. Il est possible de demander une autorisation de station additionnelle au même tarif.

    À l'exception du système de transmission automatique par paquets (APRS), la demande ne peut pas porter sur une station radioamateur sans opérateur consistant en une station fixe assurant la retransmission d'un signal reçu ou transmettant un signal en continu, sans la présence physique d'un utilisateur.

  • FAQ

    Si vous disposez d’un certificat de classe A, vous pouvez, en plus de votre indicatif principal, obtenir un indicatif court (un seul) via le formulaire.

    Les séries d'indicatifs supplémentaires OO à OT, sous le format OOxA, où x=0 à 9 et A= A à Z peuvent être demandées.

    À chaque indicatif supplémentaire, des droits de dossiers sont dus (59,92€) ainsi qu’une redevance annuelle (59,92€).

  • FAQ

    Un formulaire est à votre disposition. Le certificat d’opérateur est valable 5 ans et est payant : en 2023, le prix est de 29,96€.

    • Si vous avez réussi un examen et demandez votre premier certificat d’opérateur (ou avez réussi un examen supérieur et passez à une classe supérieure), celui-ci est compris dans le prix de l’examen.
    • Si vous avez été radioamateur par le passé et que vous souhaitez reprendre cette activité, fournissez-nous votre attestation de réussite. Un certificat sera émis au tarif ci-dessus.
    • Si vous avez un certificat délivré dans un autre pays de la CEPT, et séjournez maintenant en Belgique, vous pouvez, sur base de ce certificat, obtenir un certificat d’opérateur belge au tarif ci-dessus.
    • Si vous disposez d’un certificat d’un pays hors CEPT, et séjournez maintenant en Belgique, vous devez fournir à l’IBPT, en plus de la copie de l’attestation de réussite, la matière détaillée de l’examen passé à l’étranger. Cette matière doit être fournie en français, néerlandais ou anglais via soit une traduction officielle (traducteur juré) soit un site internet officiel. L’IBPT, sur base de ces informations, détermine le niveau de la licence.

  • FAQ

    L'inscription doit se faire auprès d'un centre d'examen GMDSS. 

    Lors de l'examen pratique, le candidat utilisera le même équipement que lors de sa formation. 

    Les frais d'inscription sont de 82,40 € et ne sont pas remboursables. 

    En cas d'annulation plus d'une semaine avant l'examen ou sur présentation d'un certificat médical, le droit d'inscription peut être utilisé pour une autre date. 

    Pour réussir, il faut obtenir 50% des points pour chaque matière et 60% au total. Aucune dispense ne sera accordée pour la partie pratique. 

    En cas de reprise, une exemption n'est accordée que pour les parties théoriques pour lesquelles le candidat a obtenu 70% ou plus et si le candidat le fait dans un délai d'un an après l'examen initial. 

    En cas de reprise, la partie pratique doit toujours être repassée.

  • Plan opérationnel 2023

    Publications › Plan opérationnel -
    Les objectifs stratégiques du plan stratégique sont traduits dans le plan opérationnel annuel en objectifs opérationnels à l’aide de fiches décrivant la mise en exécution des objectifs par axe stratégique.
  • Consultation sur un projet d’arrêté royal portant exécution de l’article 121/1, § 2, alinéa 2, de la loi du 13 juin 2005 relative aux communications électroniques, concernant la préservation de l’accès à une adresse e-mail lors du changement d’opérateur

    Publications › Consultation -
    À la demande de la ministre des Télécommunications, l’IBPT organise une consultation publique afin de recevoir des contributions concernant le projet d’arrêté royal portant exécution de l’article 121/1, § 2, alinéa 2, de la LCE. L’arrêté royal a pour objectif de fixer le montant maximal de la rémunération du fournisseur de cette facilité en cas de prolongation de celle-ci.
  • Consultation concernant le projet de plan opérationnel 2023

    Publications › Consultation -
    Consultation concernant le projet de plan opérationnel 2023
  • FAQ

    Si ces conseils n’aident pas, vous pouvez installer une solution technique afin de renforcer votre Wi-Fi.

    Les opérateurs proposent également de telles solutions (parfois gratuitement) : vous pouvez donc également vous renseigner auprès de votre opérateur à ce sujet.

    Il existe plusieurs options techniques.

    Changer le modem

    Vous disposez peut-être encore d’un ancien modem. Vérifiez avec votre opérateur si vous avez intérêt à le remplacer par un modèle plus récent.

    Les modèles plus récents soutiennent par exemple également le « Multiple-Input Multiple-Output » (MIMO). Il s’agit d’une technologie sans fil qui utilise plusieurs émetteurs et récepteurs pour transmettre plus de données simultanément. Cette technologie augmentera considérablement la vitesse et bénéficiera à la portée et à la robustesse de la connexion dans des environnements « multipath ». Dans le domaine des radiocommunications, la propagation par trajets multiples est le phénomène par lequel les signaux radioélectriques atteignent l’antenne réceptrice par deux ou plusieurs chemins. Les causes des trajets multiples sont la réflexion du signal sur des surfaces réfléchissantes (murs métalliques, bâtiments, étendues d'eau...).  

    Installer un répéteur Wi-Fi

    Cet appareil relaie le signal Wi-Fi pour une plus grande portée.

    L’installation est très simple : il suffit de brancher le répéteur dans une prise électrique à un endroit où le signal Wi-Fi du modem est encore suffisamment fort pour être répété. Toutefois, si le signal répété est de qualité inférieure (par exemple, trop d’interférences ou trop faible) à l’endroit où le répéteur est placé, l’utilisation d’un répéteur ne donnera pas non plus de bons résultats. Si le répéteur ne donne pas le résultat souhaité, placez-le plus près du modem. 
    Dans les modèles de répéteurs obsolètes, la vitesse disponible est réduite de moitié pour les appareils connectés au répéteur.

    Mettre en place un réseau Wi-Fi Mesh

    Pour les systèmes Mesh, un module principal est branché à votre modem. Ce module principal relaie le signal aux modules complémentaires ou « satellites » (au moins 2). Le signal Wi-Fi est communiqué entre tous ces modules pour former un seul réseau Wi-Fi. 

    Cette solution est idéale pour les endroits où il n’y a pas de câble Ethernet et où le signal Wi-Fi n’est pas assez puissant. Il suffit d’un câble reliant votre modem au satellite principal. Vous placez ensuite les autres modules là où vous souhaitez une meilleure portée et le système se configure tout seul.

    Installer un point d’accès supplémentaire

    Un « hotspot Wi-Fi » ou un « access point » est un point d’accès sans fil supplémentaire permettant de connecter des appareils au Wi-Fi, dans un endroit où la couverture Wi-Fi de votre modem est insuffisante. Pour cela, le point d’accès est relié à votre modem par un câble réseau ou via un adaptateur CPL (« powerline », « powerline homeplugs »). Cela garantit une vitesse optimale et un signal stable.

    Dans le cas des adaptateurs CPL, il existe des modèles qui ont le point d’accès Wi-Fi intégré.

    Il vous en faut au moins deux : un pour la prise située près de votre modem et un second pour la prise où vous souhaitez étendre le signal Wi-Fi. Ensemble, ils garantissent que le signal Internet est envoyé de A à B. Malheureusement, il est possible que le signal n’atteigne pas tout à fait correctement le deuxième adaptateur CPL, ce qui entraîne une baisse de la vitesse. Il n’y a aucune garantie que vous obtiendrez en permanence la vitesse la plus élevée.

    Attention: d’autres solutions, comme l'amplification du signal Wi-Fi par un amplificateur externe ou via le remplacement de l’antenne du router, sont interdites.

  • FAQ

    Tout ce que vous devez savoir sur la 5G

    La 5G a été introduite en Belgique dans le cadre établi par l’Europe. Dans le plan d’action pour la 5G en Europe, la Commission européenne proposait déjà en 2016 de déployer les réseaux 5G de manière coordonnée. L’Union européenne a désigné trois bandes de fréquences préférentielles pour la technologie 5G : 700 MHz, 3,5 GHz et 26 GHz. Le code des communications électroniques européen, approuvé par le Parlement Européen et le Conseil  (dans lequel le gouvernement belge est représenté par le ministre compétent) et qui devait être transposé en droit belge pour le 21 décembre 2020, imposait aux États membres un cadre concret pour l’introduction de la 5G dans ces bandes de fréquences.

    Le calendrier est contraignant. Le délai de mise à disposition de la bande 700 MHz a expiré fin juin 2020, tandis que la mise à disposition des droits d’utilisation des bandes pionnières restantes devait prendre fin le 31 décembre 2020 au plus tard.

    Un long processus démocratique précède l’introduction belge. Celui-ci a été lancé par l’IBPT par le biais de la publication de sa communication du 10 septembre 2018 concernant l’introduction de la 5G en Belgique. L’IBPT a ensuite publié diverses consultations publiques sur les textes législatifs. En juillet 2018, le Conseil des ministres fédéral de l’époque a adopté une première fois les projets de textes pour l’organisation de la mise aux enchères de la bande 3400-3800 MHz. Avant de pouvoir procéder à une mise aux enchères, le Comité de concertation, l’organe au sein duquel les différentes autorités belges harmonisent leur politique, doit parvenir à un accord à cet égard. 

    Le parlement fédéral a également été informé parallèlement aux délibérations au sein du Comité de concertation. Une audition concernant le déploiement de la 5G a eu lieu le 11 décembre 2019 et le 5 février, un débat d’actualité.

    En l’absence d’un accord politique et à l’approche de l’échéance européenne pour l’introduction de la 5G, l’IBPT a lancé une procédure pour l’octroi de droits d'utilisation provisoires dans une partie de la bande 3600 MHz pour y offrir la 5G. Début 2020, l’IBPT a organisé un appel aux candidats. Le projet de décision pour l’octroi de licences provisoires aux opérateurs qui avaient soumis leur candidature (Cegeka, Entropia Investments BVBA, Orange Belgium, Proximus et Telenet Group) y compris les modalités d’utilisation, comme les exigences techniques, les redevances à payer, la durée de validité de la licence... a été publié pour consultation publique le 23 mars 2020. 

    Le 22 janvier 2021, le Conseil des ministres a réexaminé le dossier 5G et a approuvé un projet de loi ainsi qu’un certain nombre d’arrêtés royaux pour permettre la mise aux enchères de droits 5G dans notre pays après l’accord du Comité de concertation, entre autres. Le 26 mai 2021, le Comité de consultation a déjà approuvé le projet de loi, qui a été adopté le 17 juin en séance plénière de la Chambre et publié au Moniteur belge le 6 juillet 2021.

    Par la suite, une consultation publique a été organisée du 16 juillet au 31 août 2021 sur les arrêtés royaux devant poursuivre l’exécution de la mise aux enchères multi-bandes au cours de laquelle les droits d'utilisation de la 5G seront également proposés.

    Le 24 novembre 2021, le Comité de concertation a donné son accord final concernant les arrêtés royaux relatifs à la mise aux enchères de spectre 5G. Après la publication des arrêtés royaux le 23 décembre 2021, l’IBPT a lancé les préparatifs de la mise aux enchères et la vente elle-même.

    Le 20 juillet 2022, l’IBPT a clôturé la dernière phase de la mise aux enchères du spectre radioélectrique.

  • FAQ

    Après la mise aux enchères des fréquences radio, la 5G ne sera pas directement opérationnelle pour le grand public.

    La construction de réseaux 5G nécessite des investissements dans l'infrastructure de réseau par des entreprises privées. L'introduction de la 5G en Belgique est donc déterminée non seulement par la disponibilité du spectre, mais aussi par la volonté des fournisseurs d'investir dans la 5G.

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